• Augmentation des salaires : A nouveau rien ?

    Soutenez la CFDT : agissez pour changer la « donne » !

    Branches Banques Populaires et Caisses d’Epargne, Natixis, BPCE SA, etc. : les dirigeants viennent d’y «achever» les négociations salariales concernant l’augmentation de tous les salaires.

    Deux petites réunions et puis s’en vont. Des «propositions» tellement ridicules qu’aucune organisation syndicale n’a signé.

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  • GRÈVE DU 24 MARS

    Après des semaines de travail, de réunions en intersyndicale, la diffusion de 3 tracts et autant de communiqués de presse, nous vivons ce 24 mars, un moment particulier et osons le, historique au regard de notre jeune Groupe. Nous tenons à remercier l'ensemble des salariés qui se sont mobilisés le 24 mars 2015.

    A 14H15, nous avons été reçu par la DRH Groupe, Anne Mercier Gallay, en présence de Valérie Le Boulanger et Hervé d'Harcourt de la DRH, et deux DRH , l'un d'une BP (BPRi) et l'autre d'une CE (CEBFC). En l'absence de F. Perol, à qui nous avions adressé, hier, une demande de RDV, nous avons refusé d'entamer le dialogue avec les représentants de BPCE. Ce choix avait été fait hier au cours de l'intersyndicale. Celle-ci a demandé à pouvoir rencontrer au plus vite le président du Groupe BPCE, F. Perol.

    Nos chiffres et liens Caisses d'Epargne :

    Languedoc Roussillon : 50 % de grévistes - Loire Drôme Ardèche : 25 % de grévistes - Picardie : 25 % de grévistes - Rhône Alpes : 18% de grévistes et 23 agences fermées - Auvergne Limousin : 17% de grévistes et 9 agences fermées - Ile de France : 15 % de grévistes - Bretagne Pays de Loire : 10 % de grévistes - Nord France Europe : 7 % de grévistes - Alsace : 4 % de grévistes.

    Dijon : Cliquez ici - Bordeaux et Nice :

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  • Grève le 24 mars 2015 dans le groupe BPCE

    Pour faire suite à l’intersyndicale du groupe réunissant ce jour mercredi 4 mars 2015 l’ensemble des OS (Caisse d’Epargne / Banque Populaire / Natixis / BPCESA / Crédit foncier), nous vous informons des décisions prises :

    • Appel à une action le 24 mars 2015 dans l’ensemble des entreprises du groupe (appel à une journée de grève).
    • Le fait que des Nao locales aient pu être signées dans certaines entreprises n’exonère en rien la nécessité de mobilisation.

    Qui ne constate pas l’augmentation des souffrances au travail, au moment où le problème de l’emploi perdure, la diminution incessante et programmée des effectifs dans l’ensemble de nos entreprises n’est pas acceptable.

    Dans un même temps les résultats des entreprises augmentent. Les mesures salariales générales et pérennes pour l’ensemble des salariés sont clairement refuséesà la fois dans chaque Banque et Caisse et dans le Groupe.

    Il apparaît donc nécessaire que toutes les équipes et les salariés se mobilisent pour que le 24 mars soit un succès.

    lire le tract cliquez ici  pdf20

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  • Il y a bientôt un an...

    Le 24 mars 2015, pour la première fois de son histoire, un mouvement de grève Intersyndicale était lancé sur l’ensemble du groupe BPCE, portant sur l’échec de la NAO et sur les conditions de travail.
    Certains, à l’époque, pensaient que ceci était inutile, d’autres insuffisant.
    Alors, un an après, où en est-on ? Et quelles sont les conséquences de ce mouvement ?
    La majeure partie des salariés du groupe a obtenu des augmentations pérennes, contrairement aux autres groupes bancaires

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  • L'ANNONCE DE LA GRÈVE DU 24 MARS INQUIETE BPCE ET SES DIRIGEANTS

    Alors que ces derniers mois, les dirigeants de BPCE traitaient par le déni les alertes des organisations syndicales sur les conditions de travail dans le Groupe et opposaient un refus catégorique aux légitimes revendications salariales, voilà que les choses changent subitement. La seule annonce de la grève du 24 mars prochain par l’intersyndicale a mis les dirigeants du Groupe en effervescence.
    Les employeurs tentent de désamorcer le mouvement
    Ainsi, localement, certains dirigeants sont-ils prêts maintenant à faire des propositions salariales améliorées dans le seul objectif de désamorcer le mouvement, d’autres font obstacle à la diffusion de l’information intersyndicale. Par contre rien sur les conditions de travail. Le sujet resterait-il tabou dans nos entreprises ?
    Nous ne sommes pas dupes de ce changement d’attitude. Il révèle le désarroi et l’inquiétude de patrons qui prennent conscience de l’ampleur de la colère du personnel.

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  • La CFDT demande un grand plan d’accompagnement social

    Paris, le 30 mars 2017. Aujourd’hui, Marguerite Bérard-Andrieu, Directrice générale Finances et Stratégie du groupe BPCE, Laurent Roubin, Jean-Yves Forel et Yves Tyrol présentent le plan transformation de la banque de proximité au Comité stratégique élargi de BPCE (représentants nationaux des OS du Groupe et du Comité de Groupe).
    Ce plan se décline de 2018 à 2020 en trois actions : l’adaptation du modèle de relation : « promesse de proximité », l’excellence opérationnelle : « gagner en performance », le plan d’action digital : « faire simple pour les clients, les salariés, les communautés ».

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  • OPÉRATION « CARTE DU REFUS »

    carte

    Dites-le-lui directement !

     

    Dès qu’il s’agit de rémunération et de conditions de travail, François Pérol et les dirigeants ont tendance à fuir la réalité. Ainsi, ils vous disent que tout va bien pour le personnel et les clients (enquêtes d’opinion). Ils vous font même dire que tout va bien pour vous (enquêtes Diapason). La réalité du terrain est cependant bien différente. Les médecins du travail ou les experts indépendants le confirment… C’est vrai pour tous les salariés, managers y compris. 

    Il prétend que ça n’existe pas : affranchissez-le !

    Dans les médias F. Pérol balaye, d’un geste aussi définitif que méprisant, la seule évocation d’une grogne sociale susceptible d’entraver le fonctionnement du Groupe BPCE. C’est tellement simple d’en affecter la responsabilité à quelques syndicats mais autrement plus compliqué de regarder la situation en face…

    PROJET DE LOI TRAVAIL :

    LA CFDT S’OPPOSE, PROPOSE ET IMPOSE
    Réécrit, le texte du projet de loi travail comporte de nombreuses modifications obtenues par la CFDT. Auparavant déséquilibré, il est porteur de progrès pour les travailleurs et les jeunes.

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  • Retraites complémentaires : la CFDT signe l’accord

    Les régimes de retraite complémentaire sont aujourd’hui dans une situation financière difficile. Cette situation est la conséquence de la crise économique, qui pèse fortement sur les encaissements de cotisations, et des évolutions démographiques - l’augmentation rapide du nombre de retraités liée au papy-boom et l’allongement de l’espérance de vie - qui ont un impact important sur les dépenses.

    La CFDT a formulé une première appréciation sur le texte issu de la négociation : 

    • Face à la situation financière dégradée des régimes complémentaires, les mesures proposées permettent une amélioration partielle des comptes de l’Arrco et de l’Agirc.Cette amélioration reste cependant fragile et ne règle pas la question de l’équilibre financier des régimes sur le long terme, en particulier la situation de l’Agirc.
  • Un contrôle fiable et infalsifiable du temps de travail

    L’accord du 30 octobre 2012 affirme que la charge de travail doit être en adéquation avec le temps de travail imparti. Comment ?
    La CFDT a amené la DRH Groupe à écrire : la mesure du temps de travail doit être « fiable et infalsifiable ».

    Chacun(e) le sait, dans nos entreprises, principalement en agence, il n’y a pas (ou exceptionnellement) de dispositif de contrôle du temps de travail réel effectué par chaque collègue.

    La CFDT a fait écrire dans l’accord : Les entreprises mettent en oeuvre les moyens nécessaires pour identifier et analyser les dépassements d’horaires significatifs et récurrents.

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